Pipi au lit : à partir de quel âge faut-il s’inquiéter ?
Faire pipi au lit la nuit est normal pour les enfants. Tous ont une phase pendant laquelle ils se réveillent mouillés en pleine nuit. Contrôler sa vessie fait partie intégrante de l’apprentissage de la propreté et cela peut prendre du temps. On le sait, chaque enfant grandit à son rythme.
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Si notre alèse Stop-pipi n'empêche pas à proprement dit votre enfant de faire pipi au lit, elle garde en revanche son matelas parfaitement sec. Et ça, ça change complètement tout, parole de parents ! Ce carré génialissime de tissu tout doux est si absorbant qu'il garde totalement prisonniers les liquides. Passez la main dessus après une petite fuite, cette dernière ne sera pas mouillée. Plus besoin donc de changer tous les draps après un incident nocturne, seul un changement de pyjama suffira. Révolutionnaire non ? Et tellement plus constructif pour l'apprentissage de votre enfant qui pourra le faire lui-même. Tout seul comme un grand, sans vous réveiller, parce que vous aurez prévu avec lui la veille de quoi gérer admirablement cet éventuel petit loupé ;-)
Notre solution :
Quelles sont les différentes étapes dans l’apprentissage de la propreté ?
L’apprentissage de la propreté est une étape importante dans le développement de l’enfant qui survient généralement entre 2 et 4 ans. Dans les faits, cet apprentissage se fait assez naturellement dès que l’enfant manifeste un intérêt pour le pot.
L’enfant en âge d’être propre a atteint une certaine maturité cognitive (pour comprendre l’intérêt du pot), mais aussi une maturité physique (pour être capable de se déshabiller et s’installer seul sur le pot).
Le début de l’apprentissage se fait souvent habillé, seulement pour habituer l’enfant à s’asseoir sur le pot. Dans un second temps, on lui propose de s’asseoir sans couche, en lui indiquant qu’il peut faire pipi ou caca dans le pot s’il le souhaite.
Le pot est généralement laissé de manière à être accessible, pour que l’enfant puisse être autonome.
Bien souvent, l’enfant est propre le jour avant de le devenir la nuit. En effet, il est parfois difficile pour un enfant de maîtriser sa vessie lorsqu’il dort. C’est généralement lorsque cet apprentissage tarde à arriver que les parents commencent à s’inquiéter.
Pipi au lit : à partir de quel âge doit-on s’inquiéter ?
Certains enfants cessent de faire pipi au lit avant l’âge de 3 ans. D’autres continuent de mouiller leur lit au-delà de 6 ans. Chaque enfant se développe à son propre rythme, dans tous les domaines. L’apprentissage de la propreté ne fait pas exception. C’est un fait, certains enfants peuvent contrôler leur vessie plus tôt que d’autres. Il n’y a donc pas d’âge limite à l’incontinence, surtout nocturne.
Ainsi, jusqu’à l’âge de 5 ou 6 ans, il n’y a pas lieu de s’inquiéter si votre enfant fait encore pipi au lit.
Par contre, il est important d’y prêter attention pour pouvoir déterminer d’éventuels troubles, suivant le cas. Par exemple, on ne réagira pas de la même façon face à un enfant qui a toujours fait pipi au lit et qui le fait toujours (il souffre peut-être d’énurésie), et un enfant qui a été propre et recommence à mouiller son lit à l’âge de 4 ans. Le deuxième cas attire l’attention, car il convient de s’intéresser à l’événement qui a déclenché cette incontinence nocturne.
Dans tous les cas de figure une seule certitude : l'alèse STOP-PIPI sera le partenaire idéal de ses nuits (et par conséquent des vôtres)
L’énurésie nocturne : mon enfant est-il concerné ?
L’énurésie nocturne est le terme employé en médecine lorsqu’un enfant en âge d’être propre (c’est-à-dire après 5 ans, quand le contrôle des sphincters est acquis) fait pipi au lit de façon involontaire et inconsciente. C’est un trouble du contrôle de la vessie, qui, elle-même, fonctionne très bien.
Ce trouble est fréquent pendant l’enfance et touche 6 % des enfants de 6 à 10 ans, et 3 % des adolescents de 11 à 14 ans. Le risque qu’un enfant continue d’être énurétique à l’âge adulte est de 3 %, s’il n’est pas pris en charge par un médecin pendant l’enfance.
Il existe plusieurs formes d’énurésie :
- L’énurésie primaire lorsque l’enfant de plus de 5 ans n’a jamais été propre pendant plus 6 mois consécutifs, sans aucun autre symptôme associé ;
- L’énurésie secondaire lorsqu’un enfant ne fait plus pipi au lit depuis plus de 6 mois et qu’il redevient incontinent la nuit ;
- L’énurésie nocturne qui est la plus fréquente :
- L’énurésie diurne.
Lorsqu’elle n’est associée à aucun autre trouble urinaire, l’énurésie guérit le plus souvent spontanément. Cependant, l’énurésie peut être liée à certaines causes qu’il est important d’identifier : un trouble affectif, un trouble organique ou une maladie (infection urinaire, malformation de l’appareil urinaire, etc.), une immaturité de la vessie, une difficulté à se réveiller, un trouble du sommeil, etc.
D’autres facteurs de risques engendrent l’énurésie chez des enfants : des parents trop contraignants ou au contraire trop passifs en ce qui concerne l’apprentissage de la propreté, la constipation, un trouble du comportement ou du langage, etc.
Il est donc essentiel de se rapprocher de son médecin traitant ou du pédiatre lorsque l’on soupçonne une énurésie pour comprendre ce qui en est la cause. Une fois qu’elle sera identifiée, il sera plus facile d’aider l’enfant à acquérir une propreté nocturne. Il ne faut pas banaliser l’énurésie comme un simple « pipi au lit ». Un bilan morphologique avec une échographie est recommandé pour s’assurer que l’enfant ne souffre pas d’une malformation par exemple. Un accident la nuit est tout à fait normal. C’est lorsque cela arrive régulièrement que l’on doit consulter et poser le diagnostic de l’énurésie.
Il est également essentiel de consulter un médecin, car même si l’enfant qui fait pipi est lit est en bonne santé, cela ne l’empêche pas d’en souffrir : appréhension au réveil, peur de se faire gronder, honte vis-à-vis des copains, etc. les répercussions sont nombreuses et peuvent avoir lieu sur la vie familiale et sociale de l’enfant.
Mon enfant fait pipi au lit : quel impact émotionnel cela a-t-il sur lui ?
Un enfant qui souffre d’énurésie peut avoir une faible estime de soi, un sentiment de culpabilité, d’humiliation, d’anxiété ou encore avoir une tendance à s’isoler. Les impacts psychologiques d’une énurésie peuvent être graves si elle provoque des souffrances émotionnelles importantes.
Dans le cas où un enfant se fait gronder alors qu’il n’a aucun contrôle sur son besoin de faire pipi en pleine nuit, un sentiment de honte ou de culpabilité peut l’envahir. L’embarras peut vite laisser place aux complexes s’il y a d’éventuelles moqueries de la part de la fratrie ou de camarades de classe. L’enfant peut alors se replier sur lui-même, ce qui risque d’engendrer un blocage important pour son épanouissement personnel. Son intégration sociale sera également mise à mal, car l’enfant risque d’avoir peur de se rendre chez des copains pour y passer la nuit ou de partir en voyage scolaire.
Dans les cas les plus extrêmes, l’enfant peut présenter des signes de dépression ou avoir des problèmes comportementaux. Cela peut dégrader ses relations avec les autres et accentuer son isolement.
Le rôle des parents est donc primordial pour soutenir l’enfant et dédramatiser la situation pour que l’enfant continue d’avoir confiance en lui.
Il n'est donc vraiment pas anodin de vous équiper de l'alèse STOP-PIPI. Non seulement celle-ci lui permettra de gérer ses nuits en toute autonomie, ce qui aidera à la revalorisation de son estime personnelle. Mais en plus l'alèse STOP-PIPI se glisse si facilement dans un sac qu'elle permettra à votre enfant de ne pas se couper de toute vie sociale en pouvant accepter d'aller dormir chez ses grands-parents ou chez un ami. En tissu tout doux et totalement silencieux, elle passera réellement inaperçue. Et comme elle reste sèche, il suffira de la ranger le lendemain avec le reste de ses affaires sales.
Quelles réactions adopter face à mon enfant qui fait pipi au lit ?
Il est conseillé de ne pas punir, ridiculiser ou culpabiliser un enfant qui fait pipi au lit. Préférez expliquer avec des mots simples ce qui se passe. Il est important de rassurer et soutenir l’enfant, tout en minimisant l’inquiétude des parents (qui peuvent demander un avis médical pour se rassurer).
Les maîtres mots pour aider un enfant énurétique sont la tolérance et le dialogue. Dans un premier temps, laissez l’enfant exprimer avec ses propres mots ce qu’il s’est passé. C’est alors l’occasion de parler de l’énurésie, de lui faire comprendre que ce n’est pas de sa faute et qu’il n’est pas seul pour affronter cette épreuve.
L’enfant a besoin de savoir que le fait de faire pipi au lit est une étape à passer, et que ses parents sont aussi passés par là. Lui offrir les outils pour l'aider dans ce moment compliqué est primordial. Lui offrir des alèses STOP-PIPI sera une première étape.
Un suivi psychologique de l’enfant peut jouer un rôle important pour la prise en charge de l’énurésie. L’environnement de l’enfant doit être favorable au dialogue, à la maison, comme à l’extérieur pour dédramatiser le problème.
5 conseils pour aider son enfant à ne plus faire pipi au lit
L’énurésie s’estompe souvent peu à peu et disparaît généralement avec le temps. Toutefois, certaines petites astuces et des mesures hygiéno-diététiques, très simples à appliquer, peuvent être mises en place pour aider l’enfant à ne plus faire pipi au lit, ou pour l’aider à accepter la situation sans culpabiliser.
1. Gérer la quantité d’eau bue le soir
Idéalement, apprenez à votre enfant à ne pas trop boire en fin de journée, et d’éviter de le faire la nuit. Pour cela, évitez aussi les soupes au repas, ou les aliments salés qui pourraient lui donner soif.
2. Lui faciliter l’accès aux toilettes
N’utilisez plus de couches après 5 ans, même si cela vous semble plus facile pour éviter les réveils nocturnes, pour aider votre enfant à grandir et à se maîtriser. Les couches sous-entendent qu’il est possible de faire pipi au lit, sans grandes conséquences. Il est préférable d’installer un pot de chambre à côté du lit de l’enfant ou de veiller à ce qu’il ait un accès facile aux toilettes.
3. Le responsabiliser
Mettez en place un système simple pour nettoyer les draps. Si possible, et en fonction de son âge, laissez votre enfant gérer cette partie par lui-même. Être autonome et ne pas avoir à prévenir l’un de ses parents en pleine nuit peut aider l’enfant à dédramatiser le problème. Par exemple, laissez une veilleuse pour que l’enfant puisse y voir et mettez des draps propres à disposition dans sa chambre. Protégez bien votre matelas avec un protège-matelas imperméable et une alèse stop pipi pour ne pas risquer d’abîmer le matelas. Si l’enfant ne peut changer ses draps seul, il peut aider ses parents à changer les draps ou simplement changer de pyjama tout seul après une petite toilette.
4. Ne pas le punir
Punir un enfant qui fait pipi au lit c’est prendre le risque d’amplifier le trouble. Mettez en place un process pour que les accidents nocturnes soient gérés « facilement » et laissez le temps à votre enfant d’être prêt à être continent.
5. S’intéresser à ses progrès
Encouragez au maximum votre enfant lorsqu’il passe une nuit sans mouiller son lit. Certains parents tiennent un petit carnet ou un calendrier mictionnel avec des petits soleils (ou un visage qui sourit), pour marquer les jours où l’enfant a fait une nuit au sec.
Pour conclure, il est tout à fait normal qu’un enfant fasse encore pipi avant l’âge de 5 ans. Si en revanche passé cet âge votre enfant continue de mouiller son lit la nuit (ou avant cet âge avec d’autres symptômes), consultez un médecin pour vous rassurer. Souvent, la mise en place de mesures simples peut améliorer les choses très rapidement.